Mais où est passé le Dragon ? Est il vivant ou mort, à la fin ? Le Dragon, c’est le capitaine d’un navire marchand, qui sillonnait les mers du monde au départ de la Bretagne à la fin du 19ème siècle.
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Peut-on vraiment parler d’un roman ? Je ne trouve pas. Il s’agit plutôt d’un très long témoignage, de ceux qu’on lit dans les magasines d’actualités. C’est une tranche de vie de Flore, une battante, rentrée à HEC sur un coup de tête : une démonstration de tai chi devant le jury final.
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C’est une histoire de Il et Elle (ils n’ont pas de prénom dans le roman). Il est un révolté. Incapable de se poser, de travailler, de garder ses amis. Pour lui, travailler c’est se mettre en sursis avant de rejoindre la file du chômage, et c’est enrichir un patron qui vous vole.
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L’une des raisons pour lesquelles j’ai eu envie de créer cet espace, c’est qu’il arrive que je voie encenser ici ou là voire carrément partout des ouvrages qui m’indisposent de la première à la dernière page (quand j’y arrive). L’amant en culottes courtes d’Alain Fleischer en est.
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Il y a des auteurs qui parviennent à mettre en scène des gens comme nous, sans rien, absolument rien de plus. Pas de grand drame, pas de grand destin, pas de grandes qualités, ni de grands défauts. Et on peut vraiment faire un bon roman avec ça ? Oui. Anna Gavalda y parvient, et sur plus de 500 pages.