Cela doit être le privilège des écrivains confirmés : ils ont ce droit précieux d’étaler leur tourment sur tout un roman. Le lecteur, lui, est prié d’accepter. Quand la vie de l’écrivain vaut le détour, ça passe. Quand elle dans la norme, ça casse.
-
-
Petite leçon à destination des écrivains en herbe. Pour bien commencer son roman, il ne faut pas avoir peur d’attraper le lecteur brutalement par le col. Comme ceci :
-
Cela m’intriguait : comment un ouvrage sur le suicide peut-il trôner en têtes des ventes de livres ? Soit parce qu'ils sont nombreux à y penser. Soit parce que ce livre est à mourir de rire. Il fallait que je vérifie.
-
Peut-on, sans lasser, multiplier des ouvrages décrivant des petits moment agréables de la vie ? Avant de lire « La tranchée d’Arenberg et autres voluptés sportives », de Philippe Delerm, ma réponse était clairement : non !
-
Il y a des plombiers de garde. Des pharmacies. Des night-shops. Mais lorsque vous avez une urgence littéraire un dimanche, que faire ?