Mais comme notre existence est banale ! A moins bien sûr que vous ayez été successivement idole de l’underground soviétique, clochard à New York, valet de chambre d’un milliardaire, écrivain branché à Paris, soldat dans les Balkans puis vieux chef charismatique.
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Cela fait partie des grands plaisirs du lecteur : lire un roman, l'apprécier, puis rencontrer l'auteur pour dénouer les énigmes. Le luxe. Eric Reinhardt a publié "Le système Victoria", un magnifique roman sur l'amour entre une cadre néolibérale et un employé de gauche. Il nous explique sa démarche et son... aversion pour le monde de l'entreprise.
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Elle est capitaliste aux dents longues. Il est employé et pétri d'idées sociales. Ils ont tout pour se détester. Mais ils s’aiment. Voici le scénario diabolique du « système Victoria ». On s’y aime, y fait l’amour souvent et parle gros sous. Très gros sous. Trop gros sous.
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Les romans où les héros parviennent à leurs fins en dépit des traîtres, c’est fréquent. Mais des romans où le héros est un traître, c’est déjà plus rare. C’est la bonne idée de Sorj Chalandon, raconter une histoire de traître, vue par le félon…
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Vous aimez Berlin, vous aimez sourire en lisant ? Alors ouvrez "Cet instant-là" de Douglas Kennedy. Un livre d'ambiances et de suspense, pas exigeant mais pas ennuyeux, autour d'un thème : en un instant d'inattention, deux destins peuvent basculer.