On a tous rêvé d'avoir un grand-père pour nous raconter des histoires, un soir de doute. Et au cas où on ne l'aurait pas eu, la littérature a inventé Jean d'Ormesson. Dans son dernier essai déguisé en roman, il évoque de front une question aussi fondamentale que le sens de la vie.
-
-
Imaginez-vous en couple avec un fan, disons de Dick Rivers. Ou de Duran Duran. Ou de Tokio Hotel. Groupie au point de faire des pèlerinages consacrés à sa vedette chérie... C'est ce que doit subir la pauvre Annie, la petite amie de ce lourdingue de Duncan.
-
A l'heure où il n'y a plus que les factures que l'on reçoit par la poste (et encore), il faut être fou pour commettre un roman épistolaire. « Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates » est donc un roman fou. Mais quelle douce folie ! Juliet est un écrivain talentueux, en mal d'inspiration.
-
C'est un peu comme un de ces films qui commencent au lendemain d'une catastrophe nucléaire. Le silence règne et le spectateur attend que les dégâts apparaissent à l'écran. « Chaos calme » débute lui aussi juste après un drame. Un drame humain.
-
Si Paul Auster vous énerve lorsqu’il multiplie les histoires dans l’histoire, ne lisez surtout pas son dernier livre, « Seul dans le noir ». C’est un nouveau festival de mises en abyme. Le narrateur, August Brill, est allongé sur son lit à la suite d’un accident de la route.