On en a tous rêvé : garder nos rêves d’adolescents, nos idéaux, nos espoirs et n’y rien changer. Ne pas se laisser corrompre par l’âge, le travail, la société quoi. On en a tous rêvé. Faber l’a fait.
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Voici un livre qui m’a fait très peur. Avec un titre aussi racoleur que « L’extraordinaire voyage du Fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea », j’ai cru immédiatement à la pantalonnade.
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Il y a des romans, comme ça, que vous dévorez, savourez, dégustez. Et dont il ne vous reste strictement rien une semaine plus tard. Cela donne ceci : - Tu as aimé Billie, le dernier Gavalda ? - Ah oui, adoré, c’est tout joyeux, paisible et espiègle à la fois. - Et ça parle de quoi ? - Euh… »
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Voici un roman qui vous fera l’effet d’un bon bain chaud. Il ne vous pétrira pas l’âme, ne déclenchera pas d’émotions à rompre les digues. Non, il va simplement vous envelopper, et vous en sortirez détendu, content de vivre, et de lire !
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Une révolution, qui unirait les sans-papiers, ceux qui n’en ont pas et ceux qui n’en veulent plus, dans une prise de Paris aussi inattendue qu’irréversible, mission impossible ? C’est sans compter sur les Renards Pâles !