Le Blog des Livres - Mot-clé - Amérique du Sud - Critiques, avis et analyses<p>Le Blog des livres est un site littéraire qui propose depuis 2007 des critiques et des avis sur des livres et romans récents et des interviews d'écrivains.</p>2023-12-18T19:18:18+01:00Bernardurn:md5:22018af4414fc176da7671c3b1eda900DotclearHommes entre eux – Jean-Paul Dubois - ernestine foucaudurn:md5:5e189652b8a6dc92a4228be5695771022019-12-30T12:24:41+01:002019-12-30T12:24:41+01:00ernestine foucaud<p>Si quelqu'un pouvait m'expliquer le pourquoi des photos,mes méninges se reposeraient.merci</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - roseurn:md5:1de97e6687f1603c915438f7d863273d2009-03-04T10:40:46+00:002009-03-04T10:40:46+00:00rose<p>tres belle écriture et des phrases à méditer vivre c'est s'obstinerà achever un souvenir disait rené CHAR.Peut etre que je m'obstine àfabriquer des souvenirs pour que cette vie ne s'achève pas.</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - julietteurn:md5:a0680ab8a7d4eaf4abb210a28fec67f02009-02-14T14:15:51+00:002009-02-14T14:15:51+00:00juliette<p>Depuis la découverte de votre très accueillant, intelligent et sensible blog, ma liste de livres à lire s'est considérablement allongée! <br />
J'avais beaucoup aimé le recueil de nouvelles Les hommes à terre. Alors c'est en toute confiance que je pars pour un nouveau voyage dans l'univers très sensuel de Giraudeau...</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - roseurn:md5:2c2904eac3d117b5489f3f96e9f4129d2009-02-11T16:28:13+00:002009-02-11T16:28:13+00:00rose<p>on dévore les dames de nage .on le relit pour le savourer</p>Hommes entre eux – Jean-Paul Dubois - pere cantocheurn:md5:b56b5838588fae3ef79ebe3b60e0e0232008-12-30T20:13:56+00:002008-12-30T20:13:56+00:00pere cantoche<p>Je viens de terminer " Hommes entre eux " . J'ai bien aimé , sans plus . J'ai lu aussi , " Une vie française " son meilleur roman à mon avis , " Parfois je ris tout seul " , je ne le démentirais pas sur ce coup-là , et " La vie me fait peur " . Il est vrai que l'on retrouve , sous des noms différents , les mêmes personnages et les mêmes thèmes dans chaque roman . Un être faible marié à une femme forte , le père , les scènes érotiques plutôt hard , les voitures , la briéveté de la vie , la téle des années 50 avec l'épopée des Kopa , Piantoni , Fontaine en Suède ... etc , etc .<br />
Mais , néanmoins cet Auteur a le mérite de parler de choses existencielles sans sujets tabous ( masturbation , fantasmes sexuels , mort , lâcheté ) il ne fait pas de concessions aux bons sentiments . Son écriture est vraie . Contrairement à des imposteurs tels Marc Lévy , Anna Gavalda ou Muriel Barbery qui doivent avoir du mal à se reconnaitre devant leur glace tellement ce qu'ils écrivent est conventionnel et dégoulinant de lieux communs .<br />
Content d'avoir découvert ton blog , j'y reviendrai , mais l'ajoute dés ce soir à la liste de mes blogs favoris .<br />
Thierry<br />
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<a href="http://percantoch.blog.mongenie.com" title="http://percantoch.blog.mongenie.com" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">percantoch.blog.mongenie....</a><br />
" A livre ouvert "<br />
Littérature , Philosophie , Poésie , Humour et Dérision<br />
</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - CARON VALERIEurn:md5:87b35438733ff2f4c8f0d7f9beaf55512007-12-26T11:01:53+00:002007-12-26T11:01:53+00:00CARON VALERIE<p>Un jour, j'ai entendu un homme parler dans une émission TV. Je l'ai entendu, je me suis arrêtée, j'ai écouté. Les propos avaient une profondeur et en même temps une "action" hors du commun, sortant de l'ordinaire. Cet homme c'était Bernard Giraudeau. J'ai eu envie de le connaître mieux et j'ai lu Les hommes à terre puis Le marin à l'ancre, j'ai littéralement plongé dans ces livres et j'en suis ressortie avec un sentiment de plénitude vraiment agréable. Je vais lire Les dames de nage, je savoure déjà ma future lecture comme s'il s'agissait d'un gâteau acheté chez le pâtissier que je m'apprête à savourer avec délectation. J'avais un à priori (acteur/écrivain)d'autant que Bernard Giraudeau acteur n'était pas ma "tasse de thé" mais après lecture, je vous conseille ces livres pleins de poésie, de rythme, d'ouverture et de rencontres. On part, on voyage, on survole...et le livre se termine... déjà... Merci à vous, Monsieur Giraudeau, d'encore donner, du fond des moments difficiles que vous traversez, de l'émotion à vos lecteurs. Si vous me lisez un jour, j'espère très sincèrement qu'un petit lutin malin va croiser votre chemin et vous remettre une petite fiole magique vous permettant de sortir de cette ornière. </p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - louis lavoisierurn:md5:058ef40fb1324fb26ef14a8eddfd77162007-12-02T21:39:13+00:002007-12-02T21:39:13+00:00louis lavoisier<p>j'aimerais pouvoir contacter Bernard Giraudeau, pourriez-vous lui communiquer mes coordonnées ?<br />
en vous remerciant à l'avance<br />
<br />
Louis LAVOISIER, <br />
Ostéopathe, Acupuncteur, Bilans Energétiques</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - blueurn:md5:f559b4b47fcbc0389181a4865c5bff122007-10-04T14:56:21+00:002007-10-04T14:56:21+00:00blue<p>Bonjour,<br />
<br />
J'apporte un commentaire tardif. Mais j'ai découvert votre blog seulement lundi dernier.<br />
En réponse à Marie et à Bernard en ce qui concerne la couverture du roman "Les dames de nage" je confirme qu'il ne s'agit pas de racollage intempestif.<br />
Bien au contraire. Cette couverture adoucit le caractère plus sordide des Dames de Nage, prostituées des ports. Je lis cette couverture comme la représentation antagoniste de deux thèmes.<br />
En premier lieu le contraste entre les femmes prostituées qui exibent leur corps pour le vendre, et ce voile, masquant la pudeur de leurs émotions. <br />
En second, le contraste entre le noir du voile(la mort, le dernier voyage), et le blanc de la chair(la vie, la route qui continue). <br />
Je ne sais pas si la force de l'écriture de Bernard Giraudeau est contingente de son combat pour la vie.<br />
Mais je sais combien j'ai apprécié ce roman. <br />
J'ai eu l'impression de voyager dans des décors d'aquarelle. Ce doit être le passé de marin de l'auteur qui teinte ainsi ces pages.</p>Hommes entre eux – Jean-Paul Dubois - Georges-Marieurn:md5:271d23b80add484fb3c4d6ae407df7992007-09-09T21:12:28+00:002007-09-09T21:12:28+00:00Georges-Marie<p>Content d'être tombé sur ce site, j'ai aussi quelques interrogations. J'ai la curieuse impression que le roman de Dubois aurait pu se passer du dernier chapitre, mais les impératifs de notre époque, laquelle s'abreuve de récits, d'action et de retournements «extrêmes» lui a dicté cette conclusion.<br />
Je ne serais pas étonné d'apprendre un jour qu'il a hésité avant de commettre le dernier chapitre.<br />
Je comprends que Hasselbank ait pu nourrir une sourde rancune, au nom des animaux parmi lesquels il se comptait après la tempête, ou en son propre nom, pour avoir été perçu comme un homme qui n'était pas «entier», par sa femme, par Thyssen, et Paterson. Cependant, j'aurais cru que le seul fait de savoir que sa quêtes était terminée, sachant où sa femme avait fini ses jours, il pouvait désormais passer à autre chose.<br />
Je vois dans les polaroïds une allusion obscure à une forme moderne d'extraction du mal, au fil de son bouillonnement durant la tempête, à partir de vagues croyances amérindiennes. <br />
Toutefois, j'ai peine à concevoir que les sens aiguisés de Paterson le chasseur, aient pu se laisser surprendre, en plein soleil, sur une neige poudreuse, par un Hasselbank qui n'arrivait que péniblement à y mettre un pied devant l'autre.<br />
En passant, moi je l'ai lu par 32c, 40 d'humidex, au bord du canal Lachine, à Montréal. Eh ben ça m'a pas rafraîchi.</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - cuicui76urn:md5:e8f69e6f5e1c170679bce660cbd880962007-06-29T15:17:28+00:002007-06-29T15:17:28+00:00cuicui76<p>Mon soutien a Bernard Giraudeau, <br />
J’ai été très sensible aux émissions que vous avez participé sur le cancer. Je vous connaissais entant qu’acteur. Je me suis donc intéressé à vous et à votre histoire. Me voilà embarqué dans votre livre ( les dames de nage).C’est un régal de parler du corps, de l’âme et de l’esprit. J’ai frôlé la mort de près, je peut vous dire que le corps n’est rien, alors que l’âme et l’esprit, s’en vont apaisés vers la lumière qui m’attirait. Etant tétraplégique et malade, j’espère pouvoir finir de le lire. Je vous souhaite par la même occasion un bon rétablissement et une petite jonquille, amitiés, yolande<br />
</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - m a r i eurn:md5:1e64dea155b33f6470e8b5edead2d86a2007-06-14T21:03:58+00:002007-06-14T21:03:58+00:00m a r i e<p>Oui bien-sûr la couverture est belle (en cadrant sur ces bouche et seins-là..même voilés), mais quand je l'ai vue en librairie je me suis demandée tout de même si elle n'était par trop racoleuse.. enfin sauf si elle colle vraiment au sujet! <br />
<br />
Giraudeau est quelqu'un de bien, de beau, de bon. Oh cela n'a rien à voir avec son regard azur, un honnête homme quoi! J'ai adoré ce qu'il apportait au film de Bernard(quel prénom répandu! ;-) Rapp: "Une affaire de goût".Je ne savais pas qu'il était atteint d'un cancer. Votre phrase a ce sujet a éclipsé toute la lumière du reste, éteint la couleur des mots, leur musique.</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - Florinetteurn:md5:603456c12b1cc60885c08d5c11f637642007-06-14T11:19:23+00:002007-06-14T11:19:23+00:00Florinette<p>Tout ceci m'a l'air très poétique et la couverture est vraiment magnifique !</p>Les dames de nage - Bernard Giraudeau - Doujaurn:md5:1e7d089086924008c81b18f434b9f7a12007-06-14T06:54:11+00:002007-06-14T06:54:11+00:00Douja<p>Je suis justement plongée dans ce roman. Et j'ai du mal à avancer ma lecture..... parce que je ne veux pas arriver à la dernière page. J'aime de plus en plus la plume de B. Giraudeau.<br />
Bernard, si tu ne l'as pas déjà lu, je te conseille vivement ses deux premiers ouvrages :<br />
- Les hommes à terre - recueil de nouvelles<br />
et<br />
- Un marin à l'ancre.<br />
C'est vraiment beau.</p>L'éternité de l'instant - Zoé Valdés - m a r i eurn:md5:63d549dc0867c6c7765c82bf2ffe9a772007-06-01T16:08:20+00:002007-06-01T16:08:20+00:00m a r i e<p>Et celui-ci= <a href="http://www.analysebrassens.com/?page=texte&id=112&motClef=rose" title="http://www.analysebrassens.com/?page=texte&id=112&motClef=rose" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">www.analysebrassens.com/?...</a> de site , connais-tu? C'est fou tous ces commentaires, assez vertigineux...</p>L'éternité de l'instant - Zoé Valdés - m a r i eurn:md5:6a44ca89f6350bcdc851e5f304f8f97d2007-06-01T15:29:30+00:002007-06-01T15:29:30+00:00m a r i e<p>J'avais à peine écrit ça que je me rongeais les sangs en me demandant comment tu allais le prendre..: en espérant que ce serait dans le bon sens, celui qui m'est venu à l'esprit sans réfléchir, et non comme si ironiquement je voulais dire que tout ce qui précède dans la note ne valait pas tripette. <br />
La référence à Brassens me fait spécialement ;-),c'est bizarre en ce moment je n'ai que lui en tête, à tel point que je n'ai lu que deux notes récemment sur le net, une sur Cavanna et l'autre sur le peintre Anselm Kiefer, et que j'ai réussi à glisser son nom à chaque fois en commentaire! </p>L'éternité de l'instant - Zoé Valdés - m a r i eurn:md5:bced2f26fecfaa8c16d9c48d52c46b972007-05-30T21:59:57+00:002007-05-30T21:59:57+00:00m a r i e<p>Esthétiquement, vu de l'extérieur c'est un beau livre tout comme celui de Gaudé qui l'a précédé. <br />
D'ailleurs après lecture et relecture dans cette note ce qui me plaît le plus c'est le laconique (..!)"je me tais" qui coiffe la couverture et clôt le texte. Bel effet vraiment!<br />
</p>L'éternité de l'instant - Zoé Valdés - Doujaurn:md5:5f967a4fe28e9d8c4d45acc054b392c52007-05-29T20:44:18+00:002007-05-29T20:44:18+00:00Douja<p>Si je croise ce livre, je me laisserai peut être tenter. Rien que pour retrouver le dernier extrait que tu nous offres. C'est vraiment beau.</p>Hommes entre eux – Jean-Paul Dubois - manuurn:md5:6669164fb48b70fa8fbcde4b7aa7170d2007-03-29T14:22:02+00:002007-03-29T14:22:02+00:00manu<p>J'ai trouvé l'idée très interressante. La description des lieux et l'ambiance etant parfaitement retranscrite. En revanche, la fin me laisse un peu dubitatif. Bien qu'ayant compris qu'Hasselbank, pendant le blizzard s'est decouvert l'animal qui vit en lui, pleins de questions reste cependant en suspens; Anna est-elle vraiment morte ? et si non, ou est-elle ? qui est-elle ? qu'elle genre de femme est(était)-elle ? Pourquoi etres partie de son mari ? pourquoi est-elle partie de chez thyssen ? Pourquoi etres partie (ou morte) de chez paterson ? Dans quel but s'est-t-elle dirigée vers le Canada après son depart d'Hasselbank ? Pourquoi Paterson prenait des photos polaroïd d'Hasselbank souffrant, quelle utilité ? <br />
Un livre tres interressant à la reflexion certes, mais qui me laisse un goût d'inachevé.<br />
J'ai pourtant vraiment apprécié le style d'écriture.<br />
</p>Hommes entre eux – Jean-Paul Dubois - Philippeurn:md5:c0368264b003c226dfe05ed8ba4ef9d42007-03-12T12:47:14+00:002007-03-12T12:47:14+00:00Philippe<p>Bien content que Daphnne a remarqué cette "étrange filiation". C'est exactement la même trame, les mêmes personnages (sauf le nom change) et les mêmes atmosphères glauques et étouffantes, malgré le froid canadien. Pour être franc, j'ai laché le livre à la moitié. </p>Hommes entre eux – Jean-Paul Dubois - daphurn:md5:61c796c3ec056226c2d80941d1bb1e622007-03-08T16:52:42+00:002007-03-08T16:52:42+00:00daph<p>J'ai lu beaucoup de livre de Dubois jusqu'à présent je les avais tous adoré, mais malheureusement celui-ci m'a beaucoup déplu, je devrais dire déçu car il reprend exactement le même thème et très souvent les mêmes phrases qu'un de ses précédent livre. Maria est morte. Suis-je la seule à l'avoir remarqué. Lisez le vous verez, le premier tiers du livre est quasiment le même, jusqu'à la profession qu'il annonce faire à son voisin dans l'avion. Les mêmes phrases, je trouve que c'set se moquer de ses lecteurs et j'ai été très déçue.</p>Hommes entre eux – Jean-Paul Dubois - ddaurn:md5:558c47ccf2d11aa725f9f8c6539240402007-02-09T22:11:54+00:002007-02-09T22:11:54+00:00dda<p>Je me garde ce livre au frais pour la prochaine canicule. Je me plongerai dedans pour me rafraichir. ;-)<br />
J'avais bien apprécié Une vie française.<br />
Je note donc.</p>